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La poesia
ci interpella
mette delle ali
alle parole
Riduce in polvere
di stelle
i muri delle nostre
convinzioni

La poesia
invade lo spazio
e con la sua matita
fugace si ingegna
a ridefinire
la curva del tempo.


Calligrafia
piena di luce
sul quaderno nero
dell'universo.

Nadine Léon
  

Dans la catégorie "poesia" :

Poésies de Nadine Léon

L'arbre est un être vivant

L'arbre est un être vivant L'arbre est un être vivant frère végétal, qui parle le langage des feuilles, des branchages et du vent. Écoute son chant changeant à chaque saison. Écoute ses bruissements et ses craquèlements. L'arbre est un être vivant qui boit du soleil, répare les meurtrissures de la Terre  et laisse gentiment que la pluie lui ruisselle dessus.   Chaque arbre porte en soi  une promesse de forêt  et l'esprit qui habite l'intimit&eac...

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Impermanence

Impermanence Dans la plaine la Terre nue se déploie autour de moi je suis au centre de ce cercle assise à même le sol simple point  dans la vastité de l’univers Célébration de cette grande Mère où la vie plonge ses racines et prospère. Dans la plaine espace au grand-écart  où souffle librement un sentiment d’impermanence Une nuée légère   est passé sous silence Pour la première et la dernière fois j’écoute s...

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Samhain

Samhain À travers le portail des brumes glisse la barque sans bruit sur le lac couleur de nuit. Le passeur enveloppé de sa cape obscure transportent les esprits de l’au-de-là en cette étrange nuit de Samhain où se rejoignent  les vivants et les morts qui se sont aimés et la frontière entre les deux mondes se dissout pour un bref instant de magie. La main de l’au-de-là frôle de son mystère  la joue des vivants d’ici-bas. Dès le crépuscule  le moment...

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Pensée sauvage Je ne suis pas un poète qui compte.  Je vole. Je vole mes mots à tous les vents. Je dérobe leur rythme au mouvement  de la brise essoufflée  après une course folle dans le champs de l’imaginaire. – Chant –   Au murmure du ruisseau je trempe la plume  de mes sentiments. Je prends mes images à l’étalage des nuages nus et sans age, agenouillés  à l’autel d’une blanche page – juste au coin du ciel – mes vers se p...

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