Terre mère   Bienvenue sur:
 
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Mon esprit léger comme
la brume du petit matin
s'élève jusqu'au divin cosmique,
Je salue l'univers qui palpite en moi.
Je remercie la lumière qui éclaire
chacune de mes cellules.

Je célèbre la vie
qui vibre sur toute
la Terre-mère,
dans toute la nature,
en chacune de ses créatures
et j'embrasse l'énergie sacrée
qui parcourt toute chose.


Je remercie pour tous les dons reçus,
pour mes frères et sœurs les humains,
les arbres, les fleurs, les animaux :
pour les fruits, les herbes de la médecine
et pour tous les éléments,
air, eau, terre, feu,
qui nous soutiennent
et dont nous sommes formés.

J'envoie tout l'amour
dont je suis porteuse
pour que le lien bienfaisant
entre moi et les autres,
entre moi et l'univers,
entre l'univers et les autres,
puisse se renforcer ;
pour que cet amour puisse alimenter
la source de la quintessence.

Que mes actes et mes intentions
soient une contribution significative
pour un changement vers le bien,
vers le respect et vers la paix.
Que ma fragilité et ma misère
soient le pont pour accepter
et pardonner la misère d'autrui.
Que mon évolution spirituelle
soit une participation manifeste
à l'élévation spirituelle
de toute l’humanité.

Que ce jour nouveau
qui s'offre à moi
puisse voir mes pieds
parcourir un chemin d'amour,
puisse voir mon cœur
s'ouvrir à la bienveillance
et mon âme se remplir
d'immense gratitude.


-Nadine Léon


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J’irai mourir à Yakushima
roman de Nadine Léon aux Éditions du tanka francophone

 Ce roman est né du désir d’approfondir. En effet, je suis auteure de haïkus et de tankas et je me suis rendue compte d’avoir une connaissance très superficielle du Japon auquel j’emprunte le mode de s’exprimer. Ma curiosité m'a portée à faire des recherches sur les origines de ces poèmes brefs et par conséquent sur l'histoire du Japon, sa cosmogonie, sa spiritualité et son sens de l'esthétisme. Sous forme de dialogue, des chapitres entiers sont consacrés au haïku et au tanka
Tous mes remerciements à Emmanuelle et à Patrick pour leur aide précieuse.


Contenu de cette page : 

1- Résumé du roman

2- Extraits et citation

3- Comment se le procurer et modalités de paiement

 
 Thèmes abordés : amour - virtuel - maladie - mort - spiritualité - connexion - sagesse - parcours initiatique - méditation - Terre Mère - nature - reliance- écologie profonde - Japon (eshétique, cosmogonie, histoire) - tanka - haïku 

Vidéoclip sur YouTube pour la présentation du livre

1-Résumé

Deux poètes sexagénaires se racontent leur vie au fil de leurs échanges sur les réseaux sociaux. Ce roman se présente comme un dialogue intime entre les deux protagonistes à travers le web : Ariane, franco-italienne passionnée de traditions celtes, en connexion avec la Terre mère, vit une expérience à la fois tragique et enrichissante en assistant son fils gravement malade ; Seiji, traducteur-interprète franco-japonais devenu tôt orphelin, dont l’existence s’est déroulée entre kagoshima, Lyon et l’île enchanteresse de Yakushima.

Un amour à distance naît hors de l’espace-temps. Un amour vibrant.
Cette rencontre virtuelle, en apparence casuelle mais dont la cause se révélera plutôt mystérieuse, changera profondément la protagoniste dans son intériorité et dans sa façon de ressentir le monde. J’irai mourir à Yakushima est une histoire d’amour qui mêle le sensuel au spirituel et qui fournit le prétexte pour une confrontation entre les deux cultures occidentale et orientale, dont les antiques traditions présentent des similitudes, comme les traditions celtes et celles du shintoïsme, pour lesquelles la nature est sacrée.

Chaque chapitre de ce roman est introduit par un tanka, poème bref très codifié d’origine japonaise.

2-Extraits de J'irai mourir à Yakushima, roman

Nuit de velours noir
de la mousse des nuages
se lève Vénus
être pour quelques instants
dans le reflet de tes yeux

Cèdres millénaires
l'île de Yakushima
nimbée de mystère
dans une forêt de mots
la rencontre de nos âmes

Des racines se sont propagées entre nous et se sont entrelacées, des racines de terre et de ciel, des liens sans nœud prêts à se défaire à n’importe quel instant. Ou peut-être que ces racines surgiront du monde enfoui où elles se trouvent pour se manifester en une forêt vibrante, tout en gardant nos doux secrets dans l’invisibilité.

Nadine Léon - J’irai mourir à Yakushima, roman (Éditions du tanka francophone)

 

Quelques fois la vie t’offre un parcours de souffrance que tu n’aurais jamais voulu emprunter, où le seul choix qui te reste est celui de t’abandonner et d’aimer, aimer de toutes tes forces, malgré tout.

Nadine Léon - J’irai mourir à Yakushima, roman (Éditions du tanka francophone)

Les épreuves sont comme des portes qui s'ouvrent sur un espace au-delà de nous. Elles nous mènent toujours au bord de nos limites. Elles adviennent pour nous aider dans notre évolution, à condition qu'on accepte de les affronter dans notre nuit intérieure. Ça fait mal et ça fait peur.

Nadine Léon - J’irai mourir à Yakushima, roman (Éditions du tanka francophone)

Le bosquet est l'endroit où je vais pour me ressourcer, de jour comme de nuit et quelque soit la saison. C'est un lieu de connexion, avec les arbres, avec moi-même, un lieu solitaire où je me mets à l'écoute. Dans le bosquet, le silence chante.

Nadine Léon - J'irai mourir à Yakushima, roman ( Éditions du tanka francophone)

Notre civilisation dite ‘‘avancée’’ oublie trop souvent ou ignore complètement que les arbres sont des êtres vivants. Ils sont en lien avec les forêts du monde et avec tout ce qui est vivant. Les forêts tout comme les océans sont la respiration de la Terre, c'est cette respiration qui nous relie au souffle vital et à l'immense souffle universel. Mais tout ça semble faire partie d’un savoir oublié.

Nadine Léon, J’irai mourir à Yakushima, roman (Éditions du tanka francophone)

À travers le récit de Seiji, c’est tout le Japon qui se raconte, sa cosmogonie, son histoire, sa spiritualité, ses îles et ses forêts primordiales, son sens de l’esthétique très raffiné qui va du jardin zen au bonsaï, du haïku au tanka.

Après le deuxième arceau se trouvait le jardin de mon père. C'était un jardin zen. Sakutaro s'immobilisa pendant quelques instants. Miyuki et moi fîmes de même. Le temps resta comme suspendu, entre l’ici et l’ailleurs.
En comparaison avec le jardin-forêt, le jardin de mon père donnait une impression de vide et paradoxalement émanait une sensation de plénitude.

Nadine Léon - J’irai mourir à Yakushima, roman (Éditions du tanka francophone)

Chacun de nous est une goutte de lumière dans l’océan de l’univers. Le sentiment de séparation est l’une des plus grandes illusions qui afflige l’humanité. Une illusion qui a fait souffrir et continuera à faire souffrir des milliards d’individus enfermés dans la cage de leur isolement dont eux seuls détiennent la clé. Avec des effets ravageurs sur le reste de la nature et sur la Terre toute entière.

Nadine Léon, J’irai mourir à Yakushima, roman (Éditions du tanka francophone)
Citation :

Notre vie a-t-elle suffisamment de temps pour que nous puissions contempler l'existence entière d'une étoile ? L'amour est semblable à cette étoile. Le temps d'une simple vie ne peut lui imposer ses limites: il existait avant, il vivra après, car ceux qui s'aiment gardent leurs doigts enlacés au-dessus des siècles.

Jean-Paul Sermonte

3-Modalités de paiement 

On peut tranquillement le commander à son libraire habituel en spécifiant le code 
ISBN 978-2- 923829-76-0
J’irai mourir à Yakushima de Nadine Léon, roman (Éditions du tanka francophone)

ou bien en procédant comme ci-dessous ou directement en cliquant sur le site des 

Éditions du tanka francophone


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